On connaît le couple « nom d’utilisateur/mot de passe » ou les protocoles d’authentification à deux facteurs basés sur l’envoi d’un code SMS sur nos téléphones qui permettent d’opérer une vérification supplémentaire. L’authentification multifacteur fonctionne avec trois facteurs de validation : quelque chose que l’on connaît (ex. : un mot de passe), quelque chose que l’on possède (ex. : un smartphone) et quelque chose qui fait partie de nous (ex. : une empreinte digitale). Cette couche d’authentification supplémentaire est essentielle pour assurer la sécurité des actifs de l’entreprise et protéger les données personnelles, mais seulement 30 % des utilisateurs environ utilisent ces protocoles.
Lisez la suite de l'article sur Globalsecuritymag